Rumeurs anciennes

Paul is dead Cloclo Sheila Roswell

 

Paul est mort!

Paul McCartney serait mort décapité lors d'un accident de voiture depuis 1964 et aurait été remplacé par un sosie !

Cette légende a débutée suite à la découverte de messages subliminaux sur les albums des Beatles.

Entre "I'm so tired" et "Blackbird", on cru entendre un message inversé qui disait: "Paul is dead man ! miss him, miss him, miss him..."

dans la chanson "Revolution 9", on découvrit la phrase : "Turn me on dead man!"

Le disque "Abbey Raod" contiendrait des indications suggérant que Paul McCartney est mort et qu'il fut remplacé par un sosie. · Plusieurs personnes scrutèrent cet album à la loupe, afin de prouver l'imposture à propos de Paul. Parmis les arguments invoqués, on fit remarquer que Paul tenait une cigarette de la main droite, alors qu'il est gaucher; qu'il était le seul à avoir les yeux fermés (?!?); qu'un corbillard était garé à droite de la rue et qu'il était pieds nus avec la jambe droite en avant contrairement aux autres.

Paul avait 28 ans lors de la parution de cet album. La plaque d'immatriculation sur la Wolksvaggen de gauche est "28if", comme dans "If ... he's alive." · Les lettres LMW pour Linda McCartney Weeps!

On retrouve des allusions à la mort de Paul sur plusieurs albums. ·

"White Album" While my guitar gently weeps : "Paul, Paul, Paul, Paul..." À la fin de la chanson, George semble pleurer le nom de Paul. Don't pass me by : "You were in a car crash (...) and you lost your hair." Une prétendue allusion à l'accident de voiture où Paul aurait été décapité. · "Magical Mystery Tour" I'm the Walrus : "Goo goo goo joob" Les derniers mots d'Humpty Dumpty, avant de se casser la tête... Strawberry fields forever : "I buried Paul" · "Revolver" Taxman "If you drive a car Paul (...) if you get too cold Paul" Une autre allusion à l'accident mortel en voiture. Tomorrow nerver knows "Paul played the game existance to the end" LES MIROIRS NE MENTENT JAMAIS ? · On dit que si vous placez un miroir sur le tambour conçu par Joe Ephgrave, entre les mots "Lonely" et "Hearts", Vous êtes sensé lire "One he die", se rapportant à la prétendue mort de Paul McCartney. Il y aurait d'autres allusions à l'endos de l'album de "Sergent Papper" · Sur l'épaule gauche de Paul, on y voyait l'acronyme "O. P. D." (Officially Pronounced Dead), un peu comme le banal "D. O. A." (Dead on Arrival). · Paul était le seul membre du groupe à avoir été photographié de dos. Ce qui prouvait, sans conteste, qu'il s'agissait d'un imposteur.

Les Beatles se sont amusés à mettre des indices dans leur chansons, dans Glass onion: "whell here's another clue for you all, the walrus was Paul", le walrus (morse) est un symbole de mort . Interview
Voir le site http://www.geocities.com/SunsetStrip/3674/pid.html

Les rumeurs de la mort de Claude François

Si la mort d'un chanteur peut être contesté, c'est bien celle de Claude François. La mort par électrocution n'a, semblerait-il, pas convaincu une grande partie de ses fans. Claude aimait trop la vie, pour la risquer aussi facilement.

Faisont le point, le tri, de toutes ses rumeurs, dont certaines laisses vraiment à désirer...

"Claude François est mort électrocuté dans son bain, en redressant une ampoule" : C'est la version officiel de sa mort. Mais peut-on y croire, vu le nombre de contestations ?

"Claude François se droguait, il est mort d'une overdose" : Certainement pas ! Claude ne fumait pas, buvait seulement les meilleurs vin, et prenait excessivement soin de sa santé, pour ralentir le vieillissement, la perte de la forme physique, d'ailleurs, il était rarement malade. Simplement malade de travail, à un rythme infernal.

"Claude François s'est électrocuté avec son rasoir électrique, dans son bain : Non, car si c'était le cas, il n'y aurait aucune raison à masquer cette version du grand publique. Et puis, on ne se rase pas dans un bain ! "Claude François s'est électrocuté avec son sèche cheveux, dans son bain : Non plus, car cette version est illogique, puisque on ne se sèche pas les cheveux dans un bain, et de toute façon, il n'y aurait aucune raison de cacher cette version.

"Claude François s'est électrocuté dans son bain, avec un vibromasseur, introduit là ou on pense..." : Bah, je dois avouer que le doute demeure, puisque ont à souvent dit, que Claude avait des penchants homosexuels, ou qu'il aurait affirmé une forte bisexualité, au cours d'orgies romaines. C'est vrai que Claude entretenait un image un peu Cloclo, un peu homo... Pourtant, on à rarement vu un chanteur "consommer" autant de femmes. Mais si l'on réfléchit un peu, on se rend compte que l'hypothèse du vibromasseur est surement fausse, car il est impossible de s'éléctrocuter avec ce genre d'appareil, car il fonctionne avec des piles, et non pas au 220volts ! Donc, pour moi, Claude ne s'est pas éléctrocuté comme ça.

"Claude François est mort en charmante compagnie" : Cela semble peu probable, étant donné la santé de Claude.

Voici, les principales rumeurs sur sa mort. Parmi toutes, c'est quand même la version officiel de sa mort, qui semble la plus cohérente. Et puis, il suffit d'une minute d'inattention... Les mauvaises langues cherchent toujours à trouver une mort plus "sale". Non, moi qui doutais de l'électrocution dans son bain avec une ampoule, je me rend compte, que c'est tout à fait possible, et que de toute façon, qu'il soit mort n'importe comment, c'est pas cela qui nous le ramènera ! On ne saura peut être jamais vraiment, bien que le 11 mars 2004, Cloclo sera mort depuis 26 ans, et donc, ses archives pourront être dévoilés. Peut être la véritable mort de Claude sera découverte, ou caché si c'est suceptible de choquer le public...
Extrait de http://membres.lycos.fr/coen/cloclo.html

SHEILA est un homme

On ne peut rien faire contre la rumeur, dans le show biz, elles sont légion mais celle qui atteint Sheila en 1964 est vicieuse et cruelle car elle atteint l'intimité d'une jeune fille encore fragilisée par une grave anémie..Sheila interrompt sa tournée et fatiguée, on parle même de leucémie, le Dr Varnier lui prescrit un traitement à base d'hormones mâles qui font que sa voix devient plus grave, qu'elle développe des signes passagers de pilosité, et elle reçoit le journaliste de France dimanche : Gérard De Villiers à qui elle se confie et celui qui n'est pas encore célèbre pour ses "SAS" rend un article dont le titre comme toujours dans ce genre de presse est racoleur à l'extrême "Sheila a peur de devenir un homme ! ", la rumeur va s'amplifier, le fait que Sheila disparaisse des écrans trois mois, ne reprenne pas sa tournée va encore accentuer la rumeur que Sheila traite avec le mépris au debut, mais qui va empoisonner toute sa vie, l'affaire va aller jusqu' aux facultés de médecine ou il n'y a pas un professeur qui ne connaîtra pas celui qui a opéré Sheila, elle fera même exemple d'une opération réussie.
Les choses ne s'arrangent pas quand elle se marie, auparavant, comme l'explique Jean-Noel Kapferer dans son livre "Rumeur, le plus vieux média du monde" paru chez Seuil, Sheila représentait la jeune fille bien élevée, restant dans le droit chemin, le public attendait d'elle qu'on la voit avec des petits amis, le tout finissant par un honnête mariage avec un gentil garçon style Adamo.

L'incident de Roswell 1947

Roswell, Mercredi 2 Juillet 1947, 21 h 50. Un orage violent s'abat sur les contrées désertiques du Nouveau-Mexique. Le fermier William "Mac" Brazel, dont le ranch se trouve au nord-ouest de la ville, entend soudain une violente déflagration. Dès le lendemain, au petit matin du 3 Juillet, il découvre sur ses terres un amas de débris provenant d'un objet qu'il ne peut identifier. Après avoir récupéré quelques-uns des matériaux, Brazel se rend chez ses voisins, Floyd et Loretta Proctor, et leur fait part de sa découverte.

Le Dimanche 6 Juillet, il décide d'avertir le shérif du comté de Chaves, George Wilcox, de la présence des débris sur son champ. Ensemble, ils appellent les responsables de la base militaire de Roswell qui envoient immédiatement 3 hommes au bureau du shérif. L'un d'eux est le colonel Blanchard, commandant de la base, accompagné du major Jesse Marcel, officier de renseignement, et du capitaine Sheridan Cavitt. Blanchard rentre à la base en emportant avec lui quelques-uns des debris apportés par Brazel, puis en réfère à son supérieur hiérarchique, le général Ramey de la base de Carswell, à Fort Worth (Texas). Ce dernier alerte à son tour le Pentagone. Le soir-même, les débris sont envoyés à Washington, à l'adresse du général Clements Mac Mullen, puis ré-expédiés pour identification à la base de Wright Field, près de Dayton (Ohio).

Le Lundi 7 Juillet — comme le confirment les archives du Pentagone — le général Hoyt Vandenberg rencontre le général Curtis LeMay du SAC au sujet des soucoupes volantes. En effet, depuis l'observation de Kenneth Arnold, le 24 Juin de la même année, la presse consacre un bon nombre d'articles à ces mystèrieux objets parcourant le ciel américain.
Les événements s'accélèrent le mardi 8 juillet. Le colonel Blanchard ordonne au major Edwin Easley de placer des postes de garde sur les routes accédant au champ de Brazel. A 7 h 30, il organise une réunion avec les principaux officiers de la base afin de discuter de l'affaire des débris. A 9 h 30, il dicte une dépeche de presse annonçant la capture d'une soucoupe volante à l'officier chargé des relations publiques, le lieutenant Walter Haut. Celle-ci est communiquée à la presse aux environs de 12 h. Le jour-même, le Roswell Daily Record publie la nouvelle en couverture, précédant de peu des dizaines de journaux du monde entier.

La Force Aérienne Capture un Disque Volant dans la Région de Roswell
Aucun Détail sur le Disque Volant n'a Eté Révélé

Vers 15 h, un bombardier B-29 décolle de la base de Roswell avec à son bord le major Jesse Marcel et quelques sacs de débris. Un 2nd appareil emporte un container scellé, également chargé de l'étrange marchandise. A peine arrivé à Fort Worth, ce précieux colis est transféré dans un autre avion en partance pour Washington. Selon le témoignage du général Thomas Jefferson Dubose, déposé devant notaire en avril 1991, un appel téléphonique du général Clements McMullen, dirigeant alors le SAC, avait ordonné que le container soit immédiatement transféré à Washington pour être ensuite acheminé à la base de Wright Field. Pendant ce temps, une conférence de presse est organisée dans le bureau du général Ramey, à Fort Worth. Jesse Marcel y montre les débris de réflecteurs radars en aluminium. L'explication officielle est donnée : la soucoupe volante n'était qu'un ballon-sonde. Mais comme le soulignait le général Dubose peu de temps avant son décès, l'histoire du ballon-sonde, racontée pour expliquer l'origine des matériaux récupérés, n'est qu'une invention pour détourner l'attention de la presse. L'explication officielle semble convenir aux journalistes qui enterrent l'affaire.

Pour en savoir plus: http://rr0.free.fr/index.html